Quel avenir pour les relationnistes et les journalistes?
Par La Rédaction
L’univers des communications est en profonde transformation. Les nouvelles technologies ont multiplié les canaux et permis à tout un chacun de devenir son propre média, sa propre marque.
Les relationnistes sont beaucoup moins dépendants qu’autrefois des journalistes lorsqu’ils ont besoin de rejoindre le public. Mais y gagnent-ils vraiment au change? Peuvent-ils, sans la crédibilité qu’apporte la presse à tout débat public, atteindre leurs objectifs aussi bien qu’avant? Comment va évoluer cette relation?
Les journalistes sont de plus en plus faciles à contourner et, d’autre part, les pressions économiques croissantes créées par l’implosion du modèle économique qui soutenait les médias traditionnels menacent l’intégrité de leur pratique.
Le journalisme tel qu’il existe survivra-t-il à l’implosion des médias traditionnels? Si oui, sous quelle forme? Le branded content remplacera-t-il le journalisme? Quel avenir pour le journalisme pur et dur?
Cet atelier de la Société québécoise des professionnels en relations publiques (SQPRP) sera utile à tout relationniste qui cherche à comprendre comment les relations publiques et le journalisme se transforment, et avec quel impact sur sa capacité à promouvoir sa marque, ou défendre la réputation de son entreprise.
Panélistes:
- Stéphane Baillargeon, journaliste au quotidien Le Devoir;
- Claude Breton, vice-président, Affaires publiques et Relations investisseurs, Banque Nationale;
- Géraldine Martin, éditrice adjointe et rédactrice en chef, Les Affaires;
- Patrick Pierra, coauteur avec Pascal Henrard du Guide du marketing de contenu: du journalisme de marque à la publicité native.
Animation: Bernard Motulsky, titulaire de la Chaire en relations publiques de l’UQAM.
Le tarif inclut un repas froid.
Le nombre de places est limité.
Quand? Le jeudi 28 janvier de 12h à 14h.
Où? Agora TELUS (rez-de-chaussée) – 630 Boulevard René-Lévesque Ouest, Montréal.
Informations et inscriptions ici.