Marketing numérique pour PME: une stratégie de maturation en 3 étapes! Reviewed by Olivier Lefebvre on . Martin Wiedenhoff, consultant marketing à la Banque de développement du Canada (BDC), a présenté Marketing numérique PME: petite stratégie… grands résultats, la Martin Wiedenhoff, consultant marketing à la Banque de développement du Canada (BDC), a présenté Marketing numérique PME: petite stratégie… grands résultats, la Rating: 0

Marketing numérique pour PME: une stratégie de maturation en 3 étapes!

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Marketing-Digital-800x600Martin Wiedenhoff, consultant marketing à la Banque de développement du Canada (BDC), a présenté Marketing numérique PME: petite stratégie… grands résultats, la semaine dernière, dans le cadre des webinaires propulsés par Linked Québec. Martin Wiedenhoff a identifié trois étapes de la maturité économique d’une PME, en soulignant au passage l’avantage de faire confiance à la simplicité plutôt que d’envisager d’abord la complexité.

La première étape de maturité numérique d’une PME correspond au début de sa présence en ligne. Martin Wiedenhoff l’appelle «adoption précoce». Pour illustrer ses propos, il nous ramène au début de l’ère numérique, à l’époque où les sites web des PME étaient davantage une carte de visite qu’une stratégie marketing intégrée. Les notions de référencement, d’optimisation pour appareils mobiles et d’intégration des médias sociaux n’y sont pas exploitées. Par ailleurs, «la représentation de la marque est souvent mal cadrée à cette étape», souligne Martin Wiedenhoff. Il est important que l’internaute sache ce que l’entreprise propose dès qu’il se connecte sur le site.

330881bEnsuite vient la deuxième étape, celle où le site web est un peu plus développé. La «deuxième génération» pour utiliser les mots de Martin Wiedenhoff. À ce niveau, le site web de la PME est plus actif qu’une carte de visite. Il a subi au moins une mise à jour dans la dernière année. De plus, l’engagement social est encouragé. On appelle à l’action. Cet engagement ne passe pas uniquement par les réseaux sociaux, mais aussi par l’offre de matériel intéressant. Par exemple, l’offre d’un fichier PDF téléchargeable gratuitement. Il est alors possible d’obtenir, en échange, de l’information sur notre clientèle.

L’ultime étape, le «Saint-Graal», intègre les outils pour que la stratégie marketing devienne intelligente. Martin Wiedenhoff insiste sur l’importance de ne pas brûler d’étapes, «sinon, la stratégie marketing repose sur de mauvaises fondations». À ce stade, l’expérience du client ne se résume plus au site web. On doit le bonifier par du contenu disponible sur d’autres canaux, notamment les médias sociaux. Ces autres canaux permettent aussi d’aller chercher des rétroactions de la part des clients. Un bon moyen, finalement, pour améliorer vos produits et services.

Bref, le plus gros avantage des stratégies simples réside dans le fait qu’on peut se réajuster au passage, explique Martin Wiedenhoff. Les stratégies complexes nécessitent beaucoup de travail en amont et un plus gros investissement financier. Avec une stratégie simple, les résultats sont souvent rapides, mais Martin Wiedenhoff rappelle que « l’important, c’est de commencer quelque part! »

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