Capsana et lg2 conscientisent les jeunes à l’importance d’équilibrer leur temps d’écran Reviewed by La Rédaction on . 11 décembre 2020 Dans le contexte de la deuxième vague et alors que l’isolement affecte de nombreux Québécois, Capsana conscientise les jeunes de 18 à 24 an 11 décembre 2020 Dans le contexte de la deuxième vague et alors que l’isolement affecte de nombreux Québécois, Capsana conscientise les jeunes de 18 à 24 an Rating: 0

Capsana et lg2 conscientisent les jeunes à l’importance d’équilibrer leur temps d’écran

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11 décembre 2020
Dans le contexte de la deuxième vague et alors que l’isolement affecte de nombreux Québécois, Capsana conscientise les jeunes de 18 à 24 ans à l’importance d’équilibrer leur temps d’écran avec sa nouvelle campagne PAUSE.

Dans un ton actuel et mature, l’offensive, imaginée par lg2, a été déployée sur plusieurs plateformes et permet à l’organisation sociale créée il y a près de deux ans de s’inscrire de façon pertinente auprès de la génération Z.

Pour cette génération, il est souvent facile de se connecter à un écran par réflexe, par automatisme. Et cela fait disparaître tous ces petits moments de pause qui sont importants. Savoir utiliser ses écrans de façon équilibrée demande une certaine maîtrise de soi. Alors que 97 % des jeunes disent se connecter pour se désennuyer et que 88 % souhaitent diminuer leur temps d’écran, il était primordial pour Capsana d’utiliser un ton juste et bienveillant pour les inciter à gérer de façon plus saine le temps passé devant leur cellulaire, leur tablette ou leur ordinateur, afin de prendre soin d’eux », explique Julie Mayer, coordonnatrice de la campagne PAUSE de Capsana.

En ligne depuis le mois de novembre, la campagne se déploie à travers différentes plateformes sociales à l’aide de vidéos de 30 et de 6 secondes, de bannières, de publicités audios sur Spotify, ainsi qu’à travers des partenariats avec des influenceurs.

On a voulu créer une pub qui n’en aurait pas l’air d’une, avec une combinaison de tournage, d’animation et d’illustrations. On ne voulait surtout pas dire aux jeunes quoi faire. On cherchait plutôt à créer une séquence rythmée, à l’image du contenu qu’ils consomment, dans laquelle ils pourraient dénicher de nouvelles idées à chaque écoute. Le réalisateur (Vincent Raineri) et les artisans avec qui on a travaillé ont tous embarqué dans le projet parce qu’ils se sentaient aussi concernés par le problème. Et c’est devenu un vrai projet de cocréation », conclut Léa-Laure Bergeron, directrice artistique chez lg2.



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