De l’efficacité marketing des médias sociaux
Par La Rédaction
Voyons d’abord les raisons derrière ce fait : tout d’abord, il faut savoir que vous aurez beau avoir des milliers de followers sur Twitter ou de fans sur Facebook, vos différents « tweets » ou « statuts », ne peuvent être lus que par une quantité infime de personnes (celles connectées au moment où vous partagez ladite nouvelle). Cela combiné au fait que votre « nouvelle » se trouve aussi noyée parmi des dizaines ou des centaines d’autres au même moment, on comprend vite les limites des réseaux sociaux à générer un véritable traffic. Il suffit de voir les « fans pages » de grandes compagnies qui malgré des centaines de milliers de « fans » sur Facebook, ne génèrent qu’à peine 1 ou 2% de « likes » ou de « commentaires » même lorsqu’ils annoncent une grosse nouvelle. Que font les 99% autres ? Ils ont certainement dû ne pas voir la nouvelle (absents), la manquer (noyée parmi d’autres) ou tout simplement l’ignorer (inintéressant ?).
À quoi bon donc l’investissement ? Tout d’abord l’investissement sur Facebook ou Twitter est très peu coûteux (si vous n’utilisez pas les services de publicités), alors pourquoi donc s’en priver ? De plus, pour les plus petits sites Web, ainsi que pour les nouveaux sites Web, le peu de buzz crée est quand même un début d’étincelle ou une rampe de lancement non négligeable. En effet, quand on a que quelques dizaines de visiteurs uniques sur un site, les quelques traffics générés par le mini-buzz crée sur Facebook et Twitter est donc non négligeable pour de tels petits sites Web.
Mais alors quel intérêt pour les grands sites Web ? D’abord vu le coût dérisoire de l’investissement, même quelques ventes de plus générées par une présence sur les réseaux sociaux est bon à prendre. De plus, en ayant crée une communauté relativement importante, il peut servir (au même titre que les petits sites) de tremplin pour l’annonce de nouveaux produits/services.
Enfin, il est connu que les grands décideurs se trouvent sur ces sites, une présence sur ces réseaux peut donc être vu comme un investissement en relations publiques pour créer une visibilité auprès de ce petit pourcentage d’utilisateurs qui ont une grande influence.
Dans tous les cas, l’investissement, en temps et en argent, sur les réseaux sociaux ne devrait pas dépasser, pour le moment, le % d’impact générés par ceux-ci (ROI), soit, en moyenne autour de 1% du budget marketing total.
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Parlons peu, mais parlons bien.