Filmoption International mandate Clark Influence pour le lancement du film SLAXX

4 septembre 2020

Pour faire la promotion du film SLAXX, Clark Influence a imaginé une campagne de marketing d’influence en deux phases mettant l’accent sur l’esthétisme et le genre du film, en reprenant les codes visuels et effrayants de la comédie d’horreur.

Le 11 septembre prochain, le film SLAXX fera son apparition sur les écrans de cinéma canadiens. Le film SLAXX raconte l’histoire d’une paire de jeans possédé qui cherche à punir une l’entreprise de vêtements de type «fast-fashion» nommé CCC suite à des pratiques abusives et sans scrupules.

Quand le jeans est expédié dans la boutique phare de la compagnie, il fait littéralement un carnage avec les employés. Lorsque le nombre de corps morts augmente, le personnel se met à paniquer et à lutter pour sa survie. Il appartient à Libby, la nouvelle employée, de découvrir la raison de la soif de sang de SLAXX avant que son mal ne soit libéré.

Pour la première phase, l’agence s’est alliée avec Rodéo Production et 4 influenceurs québécois (Nick Toteda, Greg Basquiat, Éléonore Côté-Savard et Melvin MLCK) le temps d’une séance photo.

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Les photos prises lors de ladite séance avaient pour mission de reproduire les scènes les plus marquantes du film, soit la mort des différents individus par le jeans mélangé à certains codes graphiques que l’on peut observer dans le commerce CCC.

Ainsi, Rodéo production a aidé Clark Influence à “tuer” les influenceurs à l’aide d’un jeans le temps de quelques flash de caméra. Le contenu est maintenant disponible sur leur Instagram respectif afin de promouvoir le film et son message engagé.

Puis, pour la seconde phase, l’agence s’est alliée avec 10 autres influenceurs québécois pour la création de stories mettant en vedette…

un filtre SLAXX,
le partage de leurs impressions du film suite à un pré-visionnement
l’annoncer un concours mettant en lumière la morale du film, soit la dénonciation despratiques abusives et les conditions de travail exécrables de l’industrie du textile, plus particulièrement celles reliées au «fast fashion» et au travail des enfants.

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