Gestion des contenus dans les médias sociaux: êtes-vous plus Facebook ou Twitter? Reviewed by Christian Bolduc on . Il est de notoriété publique que les réseaux sociaux attirent des clientèles aux profils différenciés. En nuançant quelque peu cette assertion, on constate néan Il est de notoriété publique que les réseaux sociaux attirent des clientèles aux profils différenciés. En nuançant quelque peu cette assertion, on constate néan Rating: 0

Gestion des contenus dans les médias sociaux: êtes-vous plus Facebook ou Twitter?

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Il est de notoriété publique que les réseaux sociaux attirent des clientèles aux profils différenciés. En nuançant quelque peu cette assertion, on constate néanmoins que Facebook et Twitter provoquent, à deux exceptions près, des attitudes similaires parmi leurs abonnés canadiens dans la gestion personnelle des contenus: l’approbation de contenus; l’ajout de contenus dans leur page personnelle/fil.

Parmi les points de convergence, la recherche menée conjointement par Full Duplex et Abacus Data précise que les usagers des deux plateformes sociales aiment faire valoir leur position sur des sujets précis dans une proportion de 50% pour Facebook et 58% chez Twitter.

Autre point de confluence entre les usagers des deux plateformes est d’avoir, dans une proportion respective de 47% et 46% pour les usagers de Facebook et Twitter, la générosité de partager du contenu que leurs contacts sont susceptibles d’apprécier.

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Si le réflexe de partager des contenus importants est présent chez 51% des « Fabookiens » et 53% des « Twitteux », il semble clair que ces derniers sont beaucoup plus nombreux – 79% pour être précis – à approuver du contenu sur leur fil que les adeptes du concurrent qui, avec 32%, font ici la démonstration de leur esprit d’indépendance (ou d’indifférence?).

L’ajout de contenus dans leurs pages personnelles est finalement l’affaire des usagers Facebook. Avec 41% d’abonnés qui s’adonnent à cette activité, les adeptes du plus populaire réseau social en Occident n’auraient aucune influence sur ceux de Twitter car seuls 5% d’entre eux – de véritables influençeurs – font la même chose.

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