Nouvelle signification de ‘bec’ signé Tam-Tam\TWBA

8 novembre 2021

Ayant des échos comme quoi l’acronyme du bec laissait entendre que l’organisme n’était pas supporté par un service de professionnels, un enjeu de notoriété a fait surface. Comment changer la perception associée à nos services et consolider la crédibilité du bec? C’est dans ce contexte que l’équipe de l’agence Tam-Tam\TBWA propose un nouveau descripteur afin de faire lumière à l’importante raison d’être de l’OBNL. Le bec passe ainsi de « bénévolat d’entraide aux communicateurs » à « bien être en comm marketing ».

Le bec, c’est quoi ?

Créé pour soutenir le développement, la santé et le bien-être de toutes celles et ceux œuvrant dans le domaine des médias, des communications et du marketing au Québec, le bec est un organisme de bienfaisance offrant un soutien 360°, des ressources d’aide personnelle, professionnelle aux conseils légaux et financier.

La petite histoire

Le bec est le pendant francophone de son homologue canadien nabs – national advertising benevolent society. Lors de sa fondation en 2004, il était normal de reconduire le plus fidèlement possible la marque du nabs déjà en fonction depuis 1983. Il allait alors de soi que l’acronyme initial soit l’équivalent de celui de la maison mère de l’organisme, d’où « bénévolat d’entraide aux communicateurs ».

Être bon c’est bien, mais être bien c’est mieux.

Lorsqu’on passe par des moments plus difficiles, on a souvent l’impression d’être seul dans notre situation, mais également limité dans nos recours. L’approche publicitaire pour le communiquer est un clin d’œil créatif et réconfortant à une des grandes campagnes de notre industrie. » indique François Canuel, Président-directeur général Tam-Tam\TBWA

Pourquoi pas de trait d’union?

L’inspiration derrière « bien être » sans tiret est, oui, une évocation à l’état de bien-être, mais fait avant tout référence au sens d’être bien dans le monde des communications et du marketing.

Les prochaines étapes

L’année prochaine, le bec aura 18 ans. Et soufflant ses chandelles, le souhait est de se positionner comme étant le réseau d’aide de l’industrie des médias, communications et marketing ; comme le « go-to » en matière de consultation confidentielle et de services de soutien. Nous désirons non seulement renforcer la légitimité du bec à travers la crédibilité de nos experts, mais rendre notre offre multiple plus accessible. Ultimement, nous voulons accroître le volet prévention de notre travail puisqu’en période de détresse – petite ou grande – chercher de l’assistance n’a pas à être embarrassant. C’est un choix judicieux, un investissement dans son futur. Plus rapidement on détecte nos besoins, plus vite des solutions seront trouvées et mises en place. » — Garance Fielding Philippe, gestionnaire du bec.

Parallèlement, Mathilde Corbeil affiche ses couleurs au bec

Pour l’occasion, le bec s’est tourné vers une·e artisan·e d’ici afin de rafraîchir son image. En raison de sa sensibilité artistique, son intuition aiguisée et son imaginaire à la fois doux et percutant, l’association avec Mathilde Corbeil était tout à fait naturelle. Les lignes directrices étaient de jouer avec le look and feel des couleurs du bec en ayant une plus grande conscience de diversité et d’inclusion. Rapidement, on s’est aussi entendues sur le désir que l’environnement visuel soit propice à un discours décontracté en matière de santé mentale.

Artiste, illustratrice et designer graphique, Mathilde appose sa signature, et ce depuis plusieurs années, sur une foule de projets : couverture de livres, pochettes de CD, affiches de cinéma et de théâtre et vidéoclips – pour ne nommer que ceux-là. C’est donc avec fébrilité que la collaboration a pris naissance et que le site web du bec dévoile fièrement le talent et la vision de Mathilde Corbeil.