Suivre ou rattraper les tendances
Par François Nadeau
Chaque année, en décembre et janvier, on peut lire plusieurs articles relatant les tendances marketing pour l’année à venir. 2012 ne fait pas exception.
Du côté des tendances technologiques, on prédit un avenir prometteur aux technologies de communication en champ proche et au paiement mobile, comme Google Wallet.
Avec la frontière qui diminue de plus en plus entre la télévision et le web, il faudra aussi surveiller des produits comme Apple TV.
Aussi, le marché des tablettes devrait continuer de gagner en importance et le concept d’écrans tactiles influencera aussi d’autres produits.
Côté marketing, l’importance croissante du marketing de contenu est à noter. Le «cloud computing» devrait également aider à réduire les dépenses marketing.
Pour ce qui est des médias sociaux, encore nouveaux il y a quelques années, plusieurs entreprises gagnent en maturité dans l’utilisation qu’ils en font et le besoin de mesurer leur retour sur investissement devient de plus en plus pressant. On prédit également une utilisation plus décentralisée des médias sociaux dans certaines organisations, ce qui traduit également un gain en maturité dans l’utilisation faite du 2.0.
Bref, cette année encore, les termes mobilité, «cloud computing», marketing social, Facebook, Google, Apple, personnalisation,devraient encore être très présents dans les discussions.
Un retour dans le passé
Au-delà des tendances de l’année à venir, il est intéressant de retourner dans le passé et de regarder ce qu’il en était des tendances du moment.
Si on retourne cinq ans en arrière, on prédisait un bel avenir pour un nouveau type de téléphone, le iPhone.
Alors que Google était plus populaire que jamais, on parlait déjà de l’importance d’être présent et bien positionné sur le web.
Toujours en 2007, alors que Twitter venait à peine de voir le jour, on décrivait la «co-création» entre consommateurs et entreprises comme une tendance à surveiller.
Également en 2007, la firme Deloitte se préoccupait du retard pris par les entreprises canadiennes en termes de commerce en ligne. La firme prédisait aussi la montée du téléphone mobile, qui supplanterait la ligne fixe comme moyen #1 de communication téléphonique.
Suivre ou rattraper les tendances
Si on revient dans le présent, alors que certaines entreprises regardent comment elles pourront devancer la concurrence en tirant profit rapidement des nouvelles opportunités de marchés et des nouvelles technologies à venir, d’autres peines à rattraper le temps perdu dans leurs moyens de vendre leurs produits et de communiquer avec leur clientèle.
Malgré le fait qu’on parle, depuis plusieurs années déjà ,d’un changement de cap vers les nouveaux médias, de mobilité ou même de «cloud computing», plusieurs organisations ne s’y intéressent que très peu malgré les avantages que certaines pourraient en tirer.
Plusieurs entreprises n’ont pas l’expertise, les budgets ou encore le temps de se mettre à jour et d’innover du point de vue du marketing et des communications. Toutefois, toute chose étant égale, certaines organisations réussissent d’année en année à innover, mêmes avec des ressources restreintes.
Espérons pour 2012 que les entreprises d’ici continueront à le faire.
Du côté des tendances technologiques, on prédit un avenir prometteur aux technologies de communication en champ proche et au paiement mobile, comme Google Wallet.
Avec la frontière qui diminue de plus en plus entre la télévision et le web, il faudra aussi surveiller des produits comme Apple TV.
Aussi, le marché des tablettes devrait continuer de gagner en importance et le concept d’écrans tactiles influencera aussi d’autres produits.
Côté marketing, l’importance croissante du marketing de contenu est à noter. Le «cloud computing» devrait également aider à réduire les dépenses marketing.
Pour ce qui est des médias sociaux, encore nouveaux il y a quelques années, plusieurs entreprises gagnent en maturité dans l’utilisation qu’ils en font et le besoin de mesurer leur retour sur investissement devient de plus en plus pressant. On prédit également une utilisation plus décentralisée des médias sociaux dans certaines organisations, ce qui traduit également un gain en maturité dans l’utilisation faite du 2.0.
Bref, cette année encore, les termes mobilité, «cloud computing», marketing social, Facebook, Google, Apple, personnalisation,devraient encore être très présents dans les discussions.
Un retour dans le passé
Au-delà des tendances de l’année à venir, il est intéressant de retourner dans le passé et de regarder ce qu’il en était des tendances du moment.
Si on retourne cinq ans en arrière, on prédisait un bel avenir pour un nouveau type de téléphone, le iPhone.
Alors que Google était plus populaire que jamais, on parlait déjà de l’importance d’être présent et bien positionné sur le web.
Toujours en 2007, alors que Twitter venait à peine de voir le jour, on décrivait la «co-création» entre consommateurs et entreprises comme une tendance à surveiller.
Également en 2007, la firme Deloitte se préoccupait du retard pris par les entreprises canadiennes en termes de commerce en ligne. La firme prédisait aussi la montée du téléphone mobile, qui supplanterait la ligne fixe comme moyen #1 de communication téléphonique.
Suivre ou rattraper les tendances
Si on revient dans le présent, alors que certaines entreprises regardent comment elles pourront devancer la concurrence en tirant profit rapidement des nouvelles opportunités de marchés et des nouvelles technologies à venir, d’autres peines à rattraper le temps perdu dans leurs moyens de vendre leurs produits et de communiquer avec leur clientèle.
Malgré le fait qu’on parle, depuis plusieurs années déjà ,d’un changement de cap vers les nouveaux médias, de mobilité ou même de «cloud computing», plusieurs organisations ne s’y intéressent que très peu malgré les avantages que certaines pourraient en tirer.
Plusieurs entreprises n’ont pas l’expertise, les budgets ou encore le temps de se mettre à jour et d’innover du point de vue du marketing et des communications. Toutefois, toute chose étant égale, certaines organisations réussissent d’année en année à innover, mêmes avec des ressources restreintes.
Espérons pour 2012 que les entreprises d’ici continueront à le faire.