Initiation à l’informatique: les écoliers ontariens arrivent en tête de lice Reviewed by La Rédaction on . Prenez quelque 60 000 écoliers de huitième année (âge moyen de 13,5 ans), provenant de 20 pays aux horizons culturels aussi divers que la Suisse, l'Australie, l Prenez quelque 60 000 écoliers de huitième année (âge moyen de 13,5 ans), provenant de 20 pays aux horizons culturels aussi divers que la Suisse, l'Australie, l Rating: 0

Initiation à l’informatique: les écoliers ontariens arrivent en tête de lice

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Mon-ado-a-humilie-un-copain-sur-Internet_image510_225Prenez quelque 60 000 écoliers de huitième année (âge moyen de 13,5 ans), provenant de 20 pays aux horizons culturels aussi divers que la Suisse, l’Australie, la Korée du Sud, Hong-Kong, la République Tchèque, la Turquie, la Thaïlande, le Canada (représenté par l’Ontario), le Danemark et la Russie, et testez leurs connaissances en Initiation à l’informatique.

C’est exactement ce que vient de faire The International Association for the Evaluation of Educational Achievement (IEA) avec pour finalité que les Ontariens ont pris la première place, ex-aequo avec la République Tchèque et l’Australie, avec 546 points accumulés sur une possibilité de 600.

Le test, divisé en trois parties, a permis d’évaluer les aptitudes réelles et pratiques des jeunes en informatique par: la simulation d’applications génériques avec l’aide de logiciels; les questions/réponses à choix multiples; la création et/ou la modification de produits informatiques à partir d’applications logicielles en temps réel.

Des questionnaires pour mieux circonscrire la réalité

Deux questionnaires à remplir – un pour les élèves et un pour les professeurs – portaient sur différents aspects associés à l’informatique dans un contexte pédagogique: l’usage fait à l’école mais aussi à la maison, les aptitudes des élèves vis-à-vis la technologie, la culture informatique transmise par les parents et l’entourage, la disponibilité des ressources, des compétences acquises par intérêt personnel et la pertinence des programmes éducatifs.

Cette réussite est d’autant plus méritoire qu’elle survient dans un contexte où le gouvernement canadien, dit le rapport, ne supporte financièrement que très peu cette discipline qu’est l’informatique.

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