Quels sont les 5 films à regarder pour devenir un meilleur vendeur ? Reviewed by Philippe Jean Poirier on . 5 juillet 2018 En cette période estivale, nous avons demandé à 5 marketeurs de nous dire quel était leur film préféré sur la vente. Nous connaissons tous les cl 5 juillet 2018 En cette période estivale, nous avons demandé à 5 marketeurs de nous dire quel était leur film préféré sur la vente. Nous connaissons tous les cl Rating: 0

Quels sont les 5 films à regarder pour devenir un meilleur vendeur ?

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5 juillet 2018

En cette période estivale, nous avons demandé à 5 marketeurs de nous dire quel était leur film préféré sur la vente. Nous connaissons tous les classiques (Glengarry, Les Initiés, Le Loup de Wall Street…) nous leur avons demandé des suggestions à la fois récentes et qui sortent des sentiers battus. Voici leurs réponses.

1. À la recherche du bonheur (The Pursuit of Happyness)

Le film qui a particulièrement marqué Nacer Laalaj, responsable des ventes et marketing au CN, est The pursuit of happyness avec Will Smith. Selon lui, le film illustre à merveille l’esprit du vendeur :

La réussite en ventes, c’est d’abord une question de mindset, d’attitude et de persévérance. Il faut rester positif quand les choses vont mal, voir les problèmes et les échecs comme une opportunité de s’améliorer. »

Nacer Laalaj en tire également une leçon toute personnelle :

Quand les choses vont mal, il faut savoir prendre du recul, remettre les choses en perspective et relaxer. J’ai moi-même vécu un burn-out récemment et j’en suis ressorti plus fort avec le bon support. »

2. 99 francs 

Louis Chaussé, spécialiste en marketing numérique, y va d’un choix spontané, avec le film français 99 francs tiré du roman du même nom, écrit par Frédéric Beigbeder. Mais il s’agit ici d’un contre-exemple de tout ce qu’il ne faut pas faire comme vendeur :

C’est un film sur la surconsommation et la futilité du marketing. Je crois qu’un bon vendeur ne doit pas pousser les clients à surconsommer. On doit les conseiller selon leurs véritables besoins. »

3. Le Fondateur (The Founder)

Étant passé un peu sous le radar, ce film inspiré de la création de la chaîne de restauration rapide McDonald est un bel exemple de l’entêtement qu’il faut pour percer en affaires :

Malgré les embuches, le désir de réussir et la persévérance de Kroc sont ce qui a amené McDonald’s à devenir le géant qu’il est aujourd’hui », rappelle Benoit Desforges, administrateur du groupe Facebook Marketing 2018 – Québec.

On peut également tirer quelques leçons des frères Richard et Maurice McDonald, qui ont imaginé le concept de restauration rapide racheté par Raymond Kroc : ils avaient compris avant tout le monde qu’il est préférable de livrer à la perfection 2 ou 3 items que de diluer son offre avec trop d’options.

4. Affaires non classées (Unfinised Business)

Emeline Gleitz, directrice marketing chez Prima Ressource, a bien aimé le film Unfinished Business, qui donne la vedette à Vince Vaughn :

Le film montre des pratiques de ventes traditionnelles, mais qui ne sont plus efficaces aujourd’hui. Le personnage de Vince Vaughn investit beaucoup de temps et de ressources pour pitcher son client potentiel, mais sans avoir eu la conversation de vente clé auparavant. Ainsi il croit que la vente est conclue simplement parce qu’il est invité à soumissionner, alors que tout est à faire. Finalement, il allonge son cycle de vente, qui est entièrement contrôlé par le client. »

5. Moneyball : L’art de gagner (Moneyball)

Un autre film de ventes récent, qui est en voie de devenir un classique du genre, est le film Moneyball. Frédéric Lucas, expert des ventes, y consacre un article complet sur le site de Prima Ressources :

J’aime particulièrement ce film pour plusieurs raisons : 1. Le fabuleux parallèle qu’il y a entre le film et la gestion d’une force de vente; 2. Parce qu’il est tiré de la véritable histoire ; 3. Le fait que le film soit sur le baseball et que l’on utilise la méthodologie de vente « Baseline Selling » ».

De plus, le film illustre à merveille une approche de gestion axée sur les résultats plutôt que sur les personnalités des membres d’une équipe.

Le but ne devrait pas être d’acheter des joueurs, explique le stratège au directeur général, joué par Brad Pitt. Le but devrait être d’acheter des victoires. Et pour acheter des victoires, on doit acheter des coups sûrs. » 

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