Un premier sommet canadien pour le sociofinancement en 2015 Reviewed by La Rédaction on . 11 novembre 2014 - Le National Crowdfunding Association of Canada (NCFA) a annoncé, le 7 novembre dernier, qu'un premier sommet sur le sociofinancement se tiend 11 novembre 2014 - Le National Crowdfunding Association of Canada (NCFA) a annoncé, le 7 novembre dernier, qu'un premier sommet sur le sociofinancement se tiend Rating: 0

Un premier sommet canadien pour le sociofinancement en 2015

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11 novembre 2014 – Le National Crowdfunding Association of Canada (NCFA) a annoncé, le 7 novembre dernier, qu’un premier sommet sur le sociofinancement se tiendra le trois mars prochain à Toronto.

Né en 2012, le NCFA existe afin de propulser cette nouvelle forme de financement autonome dont l’objectif est de servir les projets en démarrage.

Et le sommet à venir – classique dans sa forme avec des ateliers, conférences, etc. – sera une occasion, pour l’industrie canadienne du sociofinancement, de se rassembler autour des meilleures pratiques actuelles et à venir dans un secteur d’activité en pleine croissance.

Startup

Actuellement évaluée à quelque 5$ milliards, cette industrie pourrait générer jusqu’à 96$ milliards dans les prochaines années, dit la Banque mondiale citée par TechVibes hier matin.

Très populaire aux États-Unis et en Angleterre, le sociofinancement est un moyen efficace pour financer un projet en testant sa pertinence auprès de celles et ceux qui peuvent contribuer à le financer: les citoyens.

Si des artistes l’utilisent pour mettre au monde un projet créatif, que dire des jeunes entrepreneurs dont l’espoir repose souvent sur ce mode de financement participatif. C’est le cas de Vanhawk – et son vélo intelligent – qui a amassé plus de 800 000$ de cette façon.

Le seul hic, avec ce sommet, est l’absence complète d’un volet francophone. Avec un peu plus de 30% de la population qui maitrise et utilise cette langue au Canada, le marché du sociofinancement participatif bénéficierait de cette présence car si on se fie à ce spécialiste du marketing, le Québec, là où la concentration de francophones est la plus importante au pays, foisonne d’intérêt pour cette forme nouvelle d’auto-financement.

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