La tablette électronique et le téléphone « intelligent » ont la cote dans les foyers québécois, dit le CEFRIO Reviewed by Christian Bolduc on . Mercredi 30 juillet 2014 - Dans une note parue ce matin, le CEFRIO (Centre facilitant la recherche et l'innovation dans les organisations) dévoilait les résulta Mercredi 30 juillet 2014 - Dans une note parue ce matin, le CEFRIO (Centre facilitant la recherche et l'innovation dans les organisations) dévoilait les résulta Rating: 0

La tablette électronique et le téléphone « intelligent » ont la cote dans les foyers québécois, dit le CEFRIO

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gr3p6Mercredi 30 juillet 2014 Dans une note parue ce matin, le CEFRIO (Centre facilitant la recherche et l’innovation dans les organisations) dévoilait les résultats du volet « équipement et branchement » de son enquête NETendances dans les foyers québécois.

Les résultats indiquent une fulgurante progression de la tablette numérique dans les foyers qui ont des enfants. De 26,5% qu’ils étaient en 2013, le CEFRIO précise qu’ils sont dorénavant 44,7% en 2014 à avoir adopté cet outil de communication à la maison. Même chose du côté des téléphones dits « intelligents », dont la popularité est telle qu’un bond quantitatif de 11% a été effectué en un an seulement (de 42% à 53%).

gr1p6Si l’achat d’ordinateurs de table se stabilise depuis quelques années, on note en contrepartie que les ordinateurs portables progressent à un rythme soutenu depuis 2010. Le téléphone intelligent, de son côté, attire davantage les jeunes générations que les précédentes. En effet, les foyers dont les habitants on moins de 34 ans contribuent à l’augmentation générale de ces statistiques.

gr1p7De 42% en 2013, ils sont 53% en 2014 à posséder au moins un téléphone de cette nature dans leur foyer. Les 18-24 ans (73%), 25-34 ans (76%) et 35-44 ans (66%) sont les principaux responsables de cette progression.

Autre aspect notable de la note du CEFRIO est l’importance accordée à Internet par la génération 18-24 ans (31,6 heures/semaine) et les diplômés universitaires (23,8 heures/semaine). Pour ces deux catégories sociologiques, l’intérêt pour Internet déborde largement la moyenne qui, avec 20,5 heures/semaine, est à la traine dans toutes les autres catégories d’âges.

gr2p9Mentionnons que le poste de travail fixe demeure, à ce jour, l’outil le plus souvent exploité pour accéder à Internet (10 heures/semaine) dans les foyers québécois. Il devance largement l’appareil mobile qui, avec 7,2 heures/semaine, fait néanmoins un bond important par rapport à 2013 (5,1 heures/semaine).

L’ordinateur portable (incluant le mini-portable) est le format qui essuie cependant le plus important recul dans l’utilisation d’Internet, ayant chuté de 7,3 heures/semaine en 2013 à 6,5 heures/semaine en 2014.

Mais peu importe le support informatique privilégié, les Québécois ont accès à une connexion Internet dans 85% des foyers. Un bond de 8 points par rapport à juin 2013. Et lorsqu’il y a un ou plusieurs enfants dans la maisonnée, le pourcentage de foyers connectés atteint 97%.

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