Le potentiel du podcast et l’avenir des espaces de travail : ce que nous avons retenu de C2 Montréal Reviewed by La Rédaction on . 27 mai 2019 Isarta Infos était présent à C2 Montréal, la grand-messe dédiée à la créativité, la semaine dernière. Première partie de notre compte-rendu avec la 27 mai 2019 Isarta Infos était présent à C2 Montréal, la grand-messe dédiée à la créativité, la semaine dernière. Première partie de notre compte-rendu avec la Rating: 0

Le potentiel du podcast et l’avenir des espaces de travail : ce que nous avons retenu de C2 Montréal

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27 mai 2019

Isarta Infos était présent à C2 Montréal, la grand-messe dédiée à la créativité, la semaine dernière. Première partie de notre compte-rendu avec la synthèse des ateliers auxquels nous avons participé le 23 mai. 

Aujourd’hui, nous avons décidé d’assister à deux ateliers, autrement appelés « séances collaboratives ». Pour le deuxième compte-rendu que nous vous proposerons cette semaine, nous aborderons des conférences cette fois. Et si vous souhaitez retrouver des images de l’événement, (presque) comme si vous y étiez, c’est ici.

Le pouvoir du balado

Pour commencer, nous avons donc assisté à l’atelier sur les balados pour les entreprises, intitulé « Marques, tendez l’oreille : le potentiel du podcast ». Ce dernier était animé par Kiran Rana et Stéphanie Chan, éditrices numériques au Globe and Mail.

Bon, honnêtement, nous n’avons pas été transcendé par leurs conseils pour faire de bons balados. Par contre, il nous semblait intéressant de vous partager ces quelques chiffres présentés et tirés d’études récentes sur les auditeurs de ce nouveau mode de diffusion de contenus en vogue.

Tout d’abord, notons que le balado s’adresse à un éventail très vaste, même si les 18-34 ans sont légèrement sur-représentés.

D’un point de vue publicitaire, il s’avère que le podcast est le média dont les auditeurs évitent le plus la publicité (45 %) avec la radio.

Il faut dire que dans la majeure partie de cas, cette dernière est insérée directement dans le contenu… et ne peut pas donc pas être passée outre. Il n’empêche, cela donne une force non négligeable pour le balado pour un annonceur.

 

Quel environnement de travail en 2030 ?

Par la suite, nous avons assisté à l’atelier « Repenser l’environnement de travail ». Sur scène, Gigi Farrell de Colliers International, l’organisation canadienne de services immobiliers commerciaux.

Auparavant, chaque décision était prise pour des raisons d’affaires. Aujourd’hui, les espaces de travail sont concentrés sur un objectif : les gens. Car ce sont eux qui contribuent aux succès d’affaires des organisations, » indique-t-elle en préambule.  

Comme nous vous en parlons souvent sur Isarta Infos, l’enjeu de la main d’oeuvre est devenu primordial pour beaucoup d’entreprises, confrontés à la concurrence internationales des talents et à la retraite des baby boomers. D’où le recours massif à l’immigration, qui aide les entreprises technologiques selon le Premier Ministre Justin Trudeau, voire aux nouvelles technologies comme l’intelligence artificielle.

Malgré le brouhaha général (les différents ateliers n’étaient séparés que par un simple rideau donc il n’était pas rare d’entendre les réactions des participants d’à côté), l’experte a expliqué que la question des espaces de travail n’était plus une question de briques et de mortier… mais de quatre notions clés, immatérielles celles-ci :

  • L’engagement – Selon elle, le coût global annuel de l’absentéisme au Canada représente 16,6 milliards de dollars.

 

 

 

  • La marque – « L’environnement de travail devrait pouvoir incarner votre marque », indique ainsi l’intervenante.

Avant de conclure : « Les espaces de travail de demain sont ceux qui seront conçus pour des gens ». Sous-entendu : et non pour seulement des questions d’affaires.

Puis, les participants ont été invités à penser à leur premier environnement de travail puis à celui actuel… et celui de leur rêve en 2030.

Tout d’abord, les yeux fermés, dans leur tête. Avant de mettre leurs idées sur des post-it et d’échanger ensuite avec leur table. Enfin, tout le monde a dû indiquer les mesures actionnables qu’ils pouvaient prendre à court terme, pour aller en direction de leur rêve de 2030.

Un exercice facile à reproduire dans vos entreprises aussi.



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