Bicom s’interroge sur l’impact des nano-influenceurs dans nos décisions d’achat Reviewed by La Rédaction on . 7 mai 2020 En janvier 2018, Bicom avait sorti une première étude sur l'impact des nano-influenceurs (personnes ayant moins de 1 000 abonnés en ligne) dans diffé 7 mai 2020 En janvier 2018, Bicom avait sorti une première étude sur l'impact des nano-influenceurs (personnes ayant moins de 1 000 abonnés en ligne) dans diffé Rating: 0

Bicom s’interroge sur l’impact des nano-influenceurs dans nos décisions d’achat

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7 mai 2020

En janvier 2018, Bicom avait sorti une première étude sur l’impact des nano-influenceurs (personnes ayant moins de 1 000 abonnés en ligne) dans différentes industries. Deux ans plus tard, la firme québécoise a décidé de poursuivre la réflexion en menant une deuxième enquête, afin de mesurer les évolutions.

Avec l’aide de Callosum, société de de recherche marketing, plus de 500 personnes ont ainsi été interrogées (126 au Québec) du 24 au 27 mars dernier, par le biais d’un questionnaire en ligne. Voici les faits saillants à retenir.

Si Facebook reste le média social le plus utilisé au pays (63 % des Canadiens interrogés l’utilisent quotidiennement), Instagram (38 %, +21 %) et Youtube (36 %, +12%) présentent les taux de progression les plus importants. Twitter (14%) et Linkedin (8%), plus spécialisés, restent loin derrière.

En termes d’abonnés/amis/connexions, les données évoluent quelque peu : Instagram (426 en moyenne) est désormais passé devant Facebook (378) et Linkedin (370). Youtube est lui, bien loin derrière avec 70 abonnées en moyenne… soit une baisse de 46 en deux ans !

En termes d’influence, la famille et les amis restent les personnes qui ont le plus d’impact sur le fait d’acheter un produit ou un service (38 % des répondant ont été influencé plusieurs fois par ces derniers). Loin devant les célébrités canadiennes (11 %), les influenceurs professionnels (10 %), les amis des réseaux sociaux (9%) ou les journalistes (8 %).

L’étude présente alors 4 différents scénarios aux participants en fonction du type d’influenceurs : le nano-influenceurs avec moins de 1 000 abonnés) (précision importante : l’énoncé précise que la persona choisie est membre de son cercle d’amis et familial), les micro-influenceurs (1 000 et 5 000 abonnés), les influenceurs réguliers (+ 10 000 abonnés) et les célébrités.

Cette distinction faite, les premiers cités sont ceux qui auraient le plus fort impact potentiel sur une décision d’achat :

Avec 1 000 abonnés ou moins, des contenus plus authentiques et une relation plus personnelle avec leur communauté, les nano-influenceurs ont donc un impact bien plus important que tous les autres types d’influenceurs sur les médias sociaux, » indique ainsi le communiqué.

À voir toutefois si le fait de préciser que le nano-influenceur en question fait partie de son entourage ait joué un rôle déterminant ou non.

Cette tendance se reproduit qu’importe l’industrie :

Depuis quelques semaines, les mesures prises pour protéger la population de la COVID-19, telles que la distanciation sociale et la fermeture des entreprises non essentielles, ont radicalement changé nos habitudes de vie. Avec l’accès restreint au magasinage physique et les déplacements limités, le commerce électronique est devenu l’alternative de choix pour beaucoup, » indique le communiqué.

Avec l’aide de nano-influenceurs ? À vous de faire votre choix.

 

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