Accro à Twitter? Attention aux divorces et infidélités… Reviewed by Roch Courcy on . Selon une étude réalisée par l’école de journalisme de l’Université du Missouri, les médias sociaux, en particulier Twitter, peuvent avoir un impact très négati Selon une étude réalisée par l’école de journalisme de l’Université du Missouri, les médias sociaux, en particulier Twitter, peuvent avoir un impact très négati Rating: 0

Accro à Twitter? Attention aux divorces et infidélités…

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cuoreSelon une étude réalisée par l’école de journalisme de l’Université du Missouri, les médias sociaux, en particulier Twitter, peuvent avoir un impact très négatif sur les relations personnelles des utilisateurs très actifs.

Russell Clayton, un étudiant au doctorat, a sondé des utilisateurs de tous les âges (18 à 67 ans) afin de connaître leurs habitudes sur Twitter. Ce sondage a été effectué en ligne et distribué par le compte Twitter des chercheurs et du Huffington Post aux États-Unis. La portée du questionnaire en ligne a été estimée à environ 3,4 millions d’utilisateurs. Au final, ce sont 581 personnes qui ont accepté de participer à l’étude.

Des questions de base, telles que « Combien de fois vous vous connectez à Twitter? », « Combien de fois écrivez-vous un tweet?, Parcourez le fil de nouvelles? », etc. ont été posées afin de dresser un portrait complet de la situation. Au-delà des questions informatives, Clayton s’est aussi intéressé à la relation entre les conflits interpersonnels et Twitter. Des questions sur l’utilisation de Twitter et la séparation et/ou le divorce, le chantage émotionnel ou l’infidélité ont été demandées aux répondants.

Les résultats de la recherche de Russell Clayton sont assez clairs. Plus un utilisateur est actif sur Twitter, plus cette personne-là a vécu des conflits interpersonnels avec son partenaire et plus le risque d’infidélité, de séparation ou de divorce est grand.

Ce n’est pas la première fois que Russell Clayton réalise une enquête de ce genre. À l’été 2013, une étude similaire a été réalisée en se concentrant sur Facebook et les relations personnelles de ses utilisateurs. Le résultat? Assez similaires. Plus un utilisateur de Facebook était actif, plus cela affectait ses relations avec les autres et son partenaire de vie, et ce, surtout pour les relations de 36 mois et moins. C’est donc avec ces résultats en tête que Clayton a réalisé la dernière étude et il n’est pas étonné que les résultats soient similaires. Toutefois, l’étudiant précise que la durée de la relation n’a, cette fois-ci, aucun impact pour les utilisateurs Twitter.

En conclusion, Clayton suggère aux utilisateurs des médias sociaux, de modérer leur utilisation de ceux-ci ou même d’utiliser un réseau social pour les couples, tel que 2Life, afin de faciliter la communication dans le couple.

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